
Yojimbo, quartet de Stoner Rock, a émergé à Strasbourg en 2019.
Porté par une énergie cosmique, des sonorités fuzz aux teintes progressives et des envolées vocales puissantes, le vaisseau Yojimbo navigue à travers les grooves massifs et catchy du stoner, en passant par les profondeurs abyssales du doom et les paysages éthérés du post-rock. Influencé par Elder, Acid King, Windhand ou encore QOTSA, le groupe est composé de Sophie Steff (chant / guitare), Stefan Legrand (batterie), Dominique Pichard (basse) et Florent Herrbach (guitare). Un premier EP éponyme autoproduit voit le jour en 2022, salué avec enthousiasme par la presse spécialisée. Yojimbo poursuit son voyage avec une tournée promotionnelle où il partage la scène avec des groupes tels que IAH, Geezer, Baron Crâne ou encore Villagers Of Ioannina City. Yojimbo est déterminé à conquérir de nouveaux univers et à laisser son empreinte avec la sortie d’un premier album, ‘‘CYCLES’’, dont la sortie est prévue pour le 25 avril 2025. Yojimbo explore également des dimensions pluridisciplinaires, qui vont au-delà de la musique. Depuis les débuts du projet, le groupe s’engage dans une démarche artistique unique : l’écriture d’une nouvelle de science-fiction qui nourrit son univers musical. Cette nouvelle sert de base à des collaborations avec des artistes locaux, et notamment en partenariat avec le collectif M33.

À l’image de son titre, les textes et les sonorités de ‘‘Cycles’’ se nourrissent de réflexions profondes sur les cycles récurrents et les mécanismes individuels qui façonnent notre société. À travers des sonorités à la fois issues du Stoner Rock, du Prog’, du Doom ou Post Rock, Yojimbo explore des thématiques actuelles majeures telles que l’écologie, le capitalisme, la guerre, mais traite aussi de sujets plus intimes comme la dépression, l’emprise psychologique ou l’auto-destruction. Les sept titres de cet album offrent une musique riche et vivante, et invitent à prendre conscience de ces schémas destructeurs pour mieux les transcender et ouvrir la voie à une transformation personnelle et collective.
L’album a été enregistré aux Kawati Studios et mixé par le studio La Turbine. Une release party aura lieu le 24 avril à La Maison Bleue (Strasbourg) en co-plateau avec le groupe suédois Deville. Quant à la pochette d’album, le groupe donne carte blanche à Førtifem. Connus pour leurs travaux avec QOSTA, Gojira, le Hellfest ou encore le Motocultor, Førtifem ont puisé dans leur imaginaire unique pour créer une œuvre qui résonne avec la profondeur thématique de l’album.