C’est en plein confinement 2021 que HEADKEYZ, groupe de rock-metal alternatif originaire de Montpellier, voit le jour sous l’impulsion de son frontman, Edge (Adrien Girard). Le projet puise son ADN dans les riffs abrasifs du rock alternatif des 90’s, la rage du nu metal des années 2000 et les vibrations fuzzy et psychédéliques des 70’s. En 2022 sort « The Cage & The Crown : Chapter I », premier volet d’un diptyque sombre et viscéral, salué par la critique et masterisé à Los Angeles par le légendaire Howie Weinberg (Nirvana, Deftones, The Smashing Pumpkins…). HEADKEYZ prépare aujourd’hui son retour avec le puissant et féroce « The Cage & The Crown : Chapter II ». Ce nouvel album, engagé et enragé, vient clore ce récit tendu, porté par une énergie brute et une plume à vif. Le groupe poursuit sa descente dans les limbes, peignant d’un noir profond le tableau d’un monde ayant atteint son point de rupture. Quand la course aveugle vers la couronne devient notre propre cage. Mixé par Thibault Akrich et masterisé par Emerson Mancini (Linkin Park, Mike Shinoda, Paramore, etc.) au studio Demifugue Mastering à Los Angeles, ce second chapitre est bien plus qu’un album : c’est un cri surgissant du chaos. En 2025, HEADKEYZ rejoint le roster de Rage Tour et assurera plusieurs premières parties des groupes Ultra Vomit et Tagada Jones. Cette même année, la guitariste Stella Cristi, au jeu incisif et magnétique, rejoint le projet.
HEADKEYZ a déjà dévoilé plusieurs extraits de ce nouvel album, prévu pour le 16 janvier 2026. Après, « Intoxicated » et « Viking », le groupe présentera « The Keys » le 31 octobre.
HEADKEYZ revient pour Halloween avec « The Keys », un trip post-grunge, puissant et cinématographique. Sombre, rampant, viscéral. Une quête de lumière dans les ténèbres, un mantra saturé introspectif qui gronde jusqu’au climax, entre A Perfect Circle et Deftones. »The Keys » plonge dans les méandres de la psyché humaine. Une quête de soi, dans un monde saturé d’informations, d’injonctions… et de faux apôtres. Réalisé par Bastien Sablé (Ashen) et Edge (chanteur du groupe), ce nouvel épisode visuel envoûtant prolonge l’histoire de Viking et s’impose comme le deuxième chapitre d’une trilogie viscérale et cinématographique. On y retrouve Fiona, enfermée dans un quotidien froid, désormais rongée par les événements passés du précédent épisode. Elle interagit de plus en plus intensément avec le monde monochrome du Chapter I, fracturant la réalité. « The Keys » est l’avant-dernière pièce d’un triptyque sombre et introspectif. Un pas de plus vers la fin : « The Crown », le grand final à paraître très prochainement.
NOUVEL ALBUM « THE CAGE & THE CROWN : CHAPTER II » – LE 16 JANVIER
HEADKEYZ y peint, d’un noir abyssal et indélébile, le portrait de l’Homme : ce super- prédateur prisonnier de sa propre couronne… et de sa propre cage.
Deux ans après le Chapter I, HEADKEYZ referme son diptyque avec le puissant et marquant Chapter II, un album conçu comme le reflet de son prédécesseur. Mais le miroir ne renvoi pas une image lisse : il déforme, interroge et dérange. Entre la cage et la couronne, la frontière est infime. La cage représente ici la soumission et résignation, tandis que la couronne représente la quête du pouvoir. Mais la couronne est aussi une cage. Conçu intégralement par Edge (Adrien Girard) et mixé « in the box » par Thibault Akrich, The Cage & The Crown : Chapter II s’impose comme la résonance inversée et paradoxalement complémentaire du premier volet. Le mastering, signé Emerson Mancini à Los Angeles (Linkin Park, Paramore…), parachève ce second chapitre avec une puissance et une précision sonore nouvelle. « The Crown » est le reflet de « The Cage », « The Keys » celui de « Passenger », « Intoxicated » fait écho à « Run Run Run », « Revenge » à « Speak », « Ctrl+X » à « Ctrl+Z » et « The End » à « Big Bad World ».
L’intégralité de la direction artistique à été supervisée et réalisée par Edge (Adrien Girard), frontman du groupe. Il fallait une empreinte forte, brute, vraie. Quelque chose d’imparfait, de profondément humain. Quelque chose d’honnête. Un contraste marqué. Du noir et du blanc. The Cage et The Crown. Deux pôles. Deux visions qui s’opposent, se complètent, se déchirent. Étant daltonien, ces deux non-couleurs se sont imposées à lui comme une évidence.
Les clips des deux chapitres se suivent et se complètent, proposant ainsi une alternative visuelle et narrative au récit de ce double album : Une première trilogie (ordre de visionnage — Killing God, Passenger et Big Bad World) réalisée par Sophie Bernard & Edge et une seconde (ordre de visionnage — Viking, The Keys et The Crown) réalisée par Bastien Sablé (Ashen, Julien Doré…) & Edge. La seconde trilogie étant en réalité le reflet de la première, complétant ainsi l’histoire et répondant aux nombreuses questions restant en suspens. Dans le Chapter I, nous suivons une créature blanche et énigmatique évoluant dans un univers monochrome. Elle se transforme, erre, explore, et croise sur sa route des figures étranges et des objets symboliques, fragments d’un monde dont elle ignore le sens. Une noirceur insidieuse semble la guetter, cherchant à s’emparer d’elle, jusqu’à la pousser à fuir à travers un tunnel. Ce passage, à la fois physique et métaphorique, l’emmène vers le monde extérieur. L’image passe du noir et blanc à la couleur, laissant présager un changement dans la trame graphique. Dans le Chapter II, Fiona, jeune femme recluse dans un appartement sombre et délabré, voit sa réalité se fissurer. Ce qu’elle vit, ce qu’elle ressent, semble être le miroir des épreuves traversées par la créature du monde monochrome. Depuis la disparition tragique de sa sœur jumelle, un seul objet relie encore Fiona à elle : un casque de Viking, retrouvé abandonné sur le bord d’une route après une soirée. Entre les deux sœurs, le lien est indestructible. C’est peut-être ce lien qui déclenche les visions : des fragments d’un autre monde, des images obsédantes qu’elle ne parvient ni à fuir ni à comprendre. Peu à peu, Fiona comprend qu’une présence tente de communiquer avec elle… ou bien que la frontière entre réalité et folie est en train de se dissoudre.
